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legion romaine

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22 février 2008

rome total wars

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Rome : Total War

Pendant le jeu, ouvrez la console avec la touche ² (en haut à gauche du clavier). Ecrivez ensuite le code :add_money 99999

Dirigez l'empire romain. Dirigez le monde.

Rome : Total War a reçu le prix du meilleur jeu de stratégie à l'E3 2003 (le plus grand salon de jeux video qui se déroule au cours du mois de mai à Los Angeles aux Etats-Unis).

Créez, dirigez et contrôlez la république et l'empire romain, et devenez empereur de Rome dans cette extension de la très célèbre série Total War. Combattez ou incarnez les généraux qui ont fait l'histoire, comme Jules César, Hannibal ou Spartacus.

Des guerres puniques...

Surtout connu à ses débuts pour ses obscurs jeux de sport développés à la demande d'Electronic Arts, le studio The Creative Assembly surnageait à grand-peine dans le paysage du jeu vidéo quand soudain à l'approche du nouveau millénaire est apparue devant ses développeurs l'ombre du grand samurai Musashi, les exhortant à traiter d'un sujet alors peu populaire dans la branche vidéoludique : le Japon médiéval. Galvanisés par cette apparition et enthousiastes à l'idée d'explorer de nouveaux horizons vidéoludiques, ces joyeux Anglais prenaient quelques mois plus tard le monde par surprise avec un Shogun : Total War au gameplay terriblement innovant et particulièrement adapté à son univers, où la clarvoyance du gestionnaire et la ruse du stratège devaient sans cesse se rejoindre pour mieux l'emporter. Deux ans plus tard, Medieval : Total War confirmait le talent de ses créateurs et leur donnait l'occasion de faire leurs preuves dans un environnement déjà plus commun, tout en leur permettant de développer un peu plus l'aspect gestion et d'approfondir du même coup la campagne. Pour Rome Total War, cette optique a de nouveau été privilégiée et on ne s'étonnera donc plus de consacrer presque autant de temps à l'économie qu'à la guerre totale proprement dite dans une épopée impériale à la durée de vie monstreuse. C'est bien connu, Rome ne s'est pas faite en un tour.

Rome : Total War (PC)

Déjà bien présente dans les deux premiers épisodes de la série, cette gestion du patrimoine des cités se montre plus riche mais s'accompagne surtout d'une refonte du système de déplacement des unités au sein d'une même région. Encore une fois inspirés des jeux du type Civilization, les mouvements ne se font plus d'une seule traite, de région en région, mais par de nombreuses étapes : au sein d'une même région, on peut donc tout à fait passer à côté d'un ennemi qu'on préfère éviter, admirer les contreforts d'une cité sans nécessairement lui tomber sur le râble, et il est du coup obligatoire d'envoyer précisément les espions ou les assassins sur leur cible. Gérer les points de mouvement d'une unité s'impose donc et on doit faire davantage attention à l'emplacement de nos troupes, qui peuvent sans problème bloquer un col ou un pont et limiter ainsi les déplacements des forces ennemies. Dans le même genre, les navires devront être minutieusement manipulés sur les ondes de la Méditerranée, d'autant plus qu'ils peuvent désormais embarquer et débarquer des troupes, histoire de se prendre Palma et de couler des jours paisibles sous les cocotiers. L'incompétence de l'ordinateur côté maritime, son incapacité à déplacer des troupes par la mer et la grande simplicité des batailles navales (qui se résument au bouton de résolution automatique, pas de combats en 3D sur l'eau) rendent cependant cet aspect moins primordial qu'il devrait l'être à l'époque. L'I.A. tente au moins de forcer les blocus, bien qu'assez maladroitement ; c'est toujours ça. L'évolution se fait sentir encore plus fort au moment des combats : assez astucieusement, le jeu prend les relevés topographiques de l'endroit où l'on se bat (visibles également sur la carte du monde en 3D, mais on ne peut que zoomer et dézoomer) et les retranscrit fidèlement sur le champ de bataille, en respectant les positions des forces en présence et celles des éventuels renforts. Bien choisir son moment et son endroit est donc une bonne garantie d'engager un combat de bonne façon, sans avoir à repositionner à la volée des archers qui auraient débuté tout au fond d'un vallon. Au même titre que la compétence du général ou l'expérience des unités, le positionnement des troupes est un élément important des batailles et si elle l'a toujours été dans les Total War, elle acquiert dans ce nouvel épisode une finesse supplémentaire qui ne déplaîra pas aux stratèges soucieux du moindre détail - et ce sont généralement les meilleurs.

http://www.jeuxvideo.com/btajv99/etajvhtm/00104413.htm
http://www.jeuxvideo.com/jeux/videos/0001/00010511.htm

www.gamekult.com/tout/jeux/fiches/J000025700.html

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